MARDI 21 FÉVRIER 2006
Qu'est ce que la Miséricorde Divine ?
Le mot miséricorde veut dire : qui a le cœur sensible au malheur d'autrui, à la misère. Il vient du latin " miseri/cordia ", et signifie " qui a le cœur (cor) sensible au malheur (miseria). Dieu a un cœur sensible à la misère, à notre misère, à nos souffrances, à nos péchés. La Parole de Dieu présente souvent le Seigneur comme un Dieu de miséricorde et utilise pour cela des expressions émouvantes : il a des entrailles de miséricorde, il aime d’un amour profond, comme une mère … Pour définir la miséricorde, Faustine disait brièvement que l'amour est la fleur et la miséricorde, le fruit. Si Dieu a voulu la création et nous, ses créatures, c'est par débordement d'amour et celui-ci est une manifestation de sa miséricorde, pour que nous puissions participer à son bonheur éternel.
La miséricorde de Dieu est particulièrement visible dans le Christ. "Lui-même l’incarne et la personnifie. Lui-même est, dans un certain sens, la miséricorde. " Par ses paroles et par ses actes, Jésus manifeste le Cœur miséricordieux de Dieu. Mais toute l'intensité de l'amour et de la miséricorde se manifeste par l'épreuve de la Passion et de la Croix. Là, Jésus a pris notre péché, mais aussi toutes nos souffrances, la souffrance de chaque personne, de tous les hommes et de toutes les femmes, de tous les temps.
Or, le Christ a voulu au cœur du XX siècle rappeler au monde son amour et sa miséricorde et " révéler que la limite imposée au mal, dont l’homme est l’auteur et la victime, est en définitive la Divine Miséricorde ".. En apparaissant à sainte Faustine, il redit à notre temps " qu’il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvé " Ac 4,12 En lui montrant son côté transpercé, Il invite à venir puiser avec grande confiance, dans son Sacré Cœur les flots de miséricorde qui lavent les âmes du péché et les délivrent de la mort. Enfin, il indique clairement que " la source du réconfort et de l’espérance se trouve dans l’éternelle miséricorde de Dieu ". " Et la miséricorde n’est-elle pas le " second nom " de l’amour (cf Dives in misericordia 7) saisi dans son aspect le plus profond et le plus tendre, dans son aptitude à se charger de chaque besoin, en particulier dans son immense capacité de pardon ? "
Qu'est ce que la Miséricorde Divine ?
Le mot miséricorde veut dire : qui a le cœur sensible au malheur d'autrui, à la misère. Il vient du latin " miseri/cordia ", et signifie " qui a le cœur (cor) sensible au malheur (miseria). Dieu a un cœur sensible à la misère, à notre misère, à nos souffrances, à nos péchés. La Parole de Dieu présente souvent le Seigneur comme un Dieu de miséricorde et utilise pour cela des expressions émouvantes : il a des entrailles de miséricorde, il aime d’un amour profond, comme une mère … Pour définir la miséricorde, Faustine disait brièvement que l'amour est la fleur et la miséricorde, le fruit. Si Dieu a voulu la création et nous, ses créatures, c'est par débordement d'amour et celui-ci est une manifestation de sa miséricorde, pour que nous puissions participer à son bonheur éternel.
La miséricorde de Dieu est particulièrement visible dans le Christ. "Lui-même l’incarne et la personnifie. Lui-même est, dans un certain sens, la miséricorde. " Par ses paroles et par ses actes, Jésus manifeste le Cœur miséricordieux de Dieu. Mais toute l'intensité de l'amour et de la miséricorde se manifeste par l'épreuve de la Passion et de la Croix. Là, Jésus a pris notre péché, mais aussi toutes nos souffrances, la souffrance de chaque personne, de tous les hommes et de toutes les femmes, de tous les temps.
Or, le Christ a voulu au cœur du XX siècle rappeler au monde son amour et sa miséricorde et " révéler que la limite imposée au mal, dont l’homme est l’auteur et la victime, est en définitive la Divine Miséricorde ".. En apparaissant à sainte Faustine, il redit à notre temps " qu’il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvé " Ac 4,12 En lui montrant son côté transpercé, Il invite à venir puiser avec grande confiance, dans son Sacré Cœur les flots de miséricorde qui lavent les âmes du péché et les délivrent de la mort. Enfin, il indique clairement que " la source du réconfort et de l’espérance se trouve dans l’éternelle miséricorde de Dieu ". " Et la miséricorde n’est-elle pas le " second nom " de l’amour (cf Dives in misericordia 7) saisi dans son aspect le plus profond et le plus tendre, dans son aptitude à se charger de chaque besoin, en particulier dans son immense capacité de pardon ? "
La miséricorde de Dieu est particulièrement visible dans le Christ. "Lui-même l’incarne et la personnifie. Lui-même est, dans un certain sens, la miséricorde. " Par ses paroles et par ses actes, Jésus manifeste le Cœur miséricordieux de Dieu. Mais toute l'intensité de l'amour et de la miséricorde se manifeste par l'épreuve de la Passion et de la Croix. Là, Jésus a pris notre péché, mais aussi toutes nos souffrances, la souffrance de chaque personne, de tous les hommes et de toutes les femmes, de tous les temps.
Or, le Christ a voulu au cœur du XX siècle rappeler au monde son amour et sa miséricorde et " révéler que la limite imposée au mal, dont l’homme est l’auteur et la victime, est en définitive la Divine Miséricorde ".. En apparaissant à sainte Faustine, il redit à notre temps " qu’il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvé " Ac 4,12 En lui montrant son côté transpercé, Il invite à venir puiser avec grande confiance, dans son Sacré Cœur les flots de miséricorde qui lavent les âmes du péché et les délivrent de la mort. Enfin, il indique clairement que " la source du réconfort et de l’espérance se trouve dans l’éternelle miséricorde de Dieu ". " Et la miséricorde n’est-elle pas le " second nom " de l’amour (cf Dives in misericordia 7) saisi dans son aspect le plus profond et le plus tendre, dans son aptitude à se charger de chaque besoin, en particulier dans son immense capacité de pardon ? "
La Confiance en Dieu
La liturgie de ce temps de Carême nous invite à méditer sur notre confiance en Dieu.
Jérémie 17, 5-10 "Béni soit l'homme qui met sa confiance dans le Seigneur, dont le Seigneur est l'espoir. Il sera comme un arbre planté au bord des eaux, qui étend ses racines vers le courant : il ne craint pas la chaleur quand elle vient, et son feuillage reste vert ; il ne redoute pas une année de sécheresse, car elle ne l'empêche pas de porter du fruit."
Ce thème de la confiance en Dieu est présent tout au long du Petit Journal de Sainte Faustine. Jésus nous invite à lui faire confiance. C’est ce qu’il nous demande, c’est ce qu’il a fait inscrire sur le bas du tableau. « Jésus, j’ai confiance en toi » cette prière toute simple nous pouvons la faire à tout instant de notre vie.
Jean Paul II témoignait combien elle l’avait aidé à traverser des périodes de sa vie, quand il était ouvrier, étudiant puis plus tard en tant que prêtre et évêque. Il en avait bien souvent constaté l’efficacité et la force. Lors de l’une de ces dernières catéchèses à propos du Psaume 116, il disait « la confiance perçoit toujours Dieu comme amour même si à certains moments, il est difficile de comprendre le parcours de son action ».
Quelquefois, on ne comprend pas toujours les chemins par lesquels le Seigneur nous fait passer. Mais si nous sommes sûrs de son amour pour nous, de sa miséricorde, nous pouvons mettre en lui toute notre confiance car il nous veut du bien.
Faire confiance au Seigneur veut dire que nous sommes certains que dans tout ce que nous vivons il est présent et nous écoute. Faire confiance ne veut pas dire que nous soyons imprévoyants, ni insouciants, mais que nous nous en remettons à Dieu car c’est lui qui conduit tout.
Quand nous disons : "Jésus j’ai confiance en toi" ce n’est pas dire une parole magique qui va tout arranger en un clin d’œil. Ce n’est pas non plus la méthode coué ; non c’est avancé doucement vers la miséricorde du Seigneur.
Les grâces de ma miséricorde se puisent à l’aide d’un unique moyen, et c’est la confiance. Plus sa confiance est grande, plus l’âme reçoit. Les âmes d’une confiance sans bornes me sont une grande joie, car je verse en elles le trésor entier de mes grâces. Je me réjouis qu’elles demandent beaucoup, car mon désir est de donner beaucoup et donner abondamment. Par contre, je m’attriste si les âmes demandent peu, si elles resserrent leur cœur. » (1578)