Jésus a voulu, non seulement nous révéler son infinie miséricorde à travers sœur Faustine, mais également nous transmettre de nouvelles formes de culte à la Miséricorde Divine. Ces pratiques intitulées " dévotion à la Miséricorde Divine " se présentent sous cinq formes : le tableau du Christ Miséricordieux, la fête de la Miséricorde Divine précédée d’une neuvaine, l’Heure de la Miséricorde, le chapelet à la Miséricorde Divine et la diffusion de la Miséricorde Divine. Elles sont toutes rattachées à des promesses bien définies que le Christ s’est engagé à tenir. Elles nous aident à méditer la Passion, la Mort et la Résurrection du Christ.
Certes, le terme "dévotion" aujourd’hui, dans notre monde et dans l’Eglise rebute et évoque un certain " piétisme populaire ". Ces pratiques ne remplacent pas ce qui est déjà vécu dans l'Eglise, comme la vie sacramentelle, la prière et la méditation de la Parole de Dieu. Ce sont des moyens concrets, puisque nous sommes corps et esprit, pour nous rapprocher de la miséricorde de Dieu, et nous en faire vivre. La dévotion n’est pas un but en soi mais permet de se laisser façonner par elle, pour vivre dans une intimité et une confiance de plus en plus grandes avec le " Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation ". (2 Co 1,3)
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